Football : la fièvre du samedi soir, un remake pour le club des cinq de Thau
Selon les résultats, ça pourrait passer ou casser pour les clubs régionaux du bassin, ce samedi 20 avril.
Le FA Carcassonne sera sur la pelouse revigorée du complexe Lucien-Jean ce samedi soir. Le club audois n’est plus seul “lanterne rouge” depuis la dernière journée, il peut encore espérer se sortir du guêpier. De son côté, le groupe muscatier porte encore les stigmates du dernier match, à Canet-Roussillon.
Absences pour blessures, sentiment d’avoir raté le coche, obligation de s’imposer, sont autant de paramètres à prendre en compte. En revanche, Florian Moureaux, par exemple, le buteur en forme du moment secoué à Canet-Roussillon, pourrait être aligné. On peut donc s’attendre à un plan de jeu différent.
Montée en vue
Dans la poule B du R3, le dénouement est proche, il pourrait même être heureux, dès samedi soir, pour les Sétois face à l’Atlas-Paillade. En cas de succès, on voit mal comment les "Vert et blanc" laisseraient échapper la première place en fin d’exercice. Il faudrait trois défaites lors des quatre dernières journées.
Les Mézois aussi espèrent beaucoup de leur match programmé en soirée, à domicile. Contre ce voisin installé confortablement en milieu du tableau, les hommes d’Éric Miramond ont un bon coup à jouer. Une victoire les remettrait dans la bonne direction, sachant que leurs deux rivaux directs sont en déplacement.
Dauphins de Sète
Les Balarucois aussi seront loin de leur base, en Aveyron. Face à un grand spécialiste du match nul et entre les deux uniques vainqueurs du leader sétois, les Stadistes qui n’ont plus joué depuis un mois voudront retrouver leur trajectoire d’avant trêve. Pour Mathieu Munoz, l’objectif demeure une place de dauphin des Sétois. « Les voici les voilà les dauphins de Sète, les voici les voilà les dauphins… des Sétois ». Chantées par des Balarucois, ces paroles sonneraient comme un véritable pied de nez à l’iconologie ou à la symbolique. Auparavant il faudra tout de même aussi franchir l’Atlas…
Enfin, samedi soir, l’Asfac II sera au repos, pas forcément l’occasion de chanter mais peut-être de danser.
J'ai déjà un compte
Je me connecteSouhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?